En ce 14 février, impossible de passer à côté de la Saint-Valentin. Pour varier un peu des petits cœurs rouges, des angelots dodus et du chocolat, je vous propose de passer par les contes.
Nous allons oublier les frères Grimm, Charles Perrault ou Walt Disney pour évoquer le formidable travail de la psychologue suisse, Marie-Louise von Franz. Cette proche collaboratrice de Carl Gustav Jung, a consacré une partie de sa vie à l’étude psychologique des contes de fées et des mythes.
Dans un de ses ouvrages, « La Princesse Chatte, un conte sur la rédemption du féminin », Marie-Louise von Franz, écrit : « On peut faire de mauvais choix, il n’est reste pas moins que l’amour est un destin personnel, ce n’est pas un arrangement conventionnel. »
Elle écrit aussi : « Le rêve a une sagesse plus grande que notre sagesse diurne et, quand nous sommes dans un problème difficile, nous devons nous tourner vers nos rêves » (La quête de sens, des entretiens radiophoniques France Culture CD)